Mon expérience de l’épuisement maternel
Tout a commencé avec les colères de ma fille. Elles reviennent de plus en plus fortes et de plus en plus violentes. Nous prenons donc la décision de voir un psychologue.
Mais au final, je parle plus avec le psy que ma fille, qu’il fait sortir pendant les trois quarts de l’entretien. Pour lui, le comportement de ma fille ne serait qu’une réaction à mon mal-être à moi. Il me parle de burnout (appelé aussi « épuisement maternel »). Je me prends une grande claque dans la figure.